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  • Plan grand froid

    Le service Plan de Cohésion de la Ville de Binche a mis en place son plan grand froid

    Les citoyens qui sont dans l’incapacité de se déplacer à cause des conditions météorologiques peuvent faire appel au plan de cohésion sociale.

    Les courses de premières nécessités (médicaments et alimentation) peuvent être réalisées par les agents de la Ville.

    Il suffit de téléphoner au 0498/93.28.16

     

    Conseil : Il est demandé aux personnes de préparer leur liste de besoins et de l’argent liquide en attendant l’arrivée d’un agent communal.

  • Réouverture des coiffeurs à partir du samedi 13 février

    Le gouvernement fédéral et les gouvernements des entités fédérées ont discuté aujourd’hui de la situation du coronavirus au sein du Comité de concertation. Le Comité de concertation a décidé que les salons de coiffure pourront rouvrir selon des conditions très strictes à partir du 13 février, et que les activités de plein air dans les parcs animaliers seront également autorisées à partir de cette date.

    Communiqué du Premier Ministre, Alexander De Croo

    Aujourd’hui, la situation du coronavirus dans notre pays reste mitigée. Le nombre d’infections reste stable depuis le mois de décembre. Le nombre d’hospitalisations et de décès diminue légèrement. Il reste actuellement nécessaire de prévenir la propagation de variants contagieux du virus. Une extrême prudence est donc toujours de mise.

    Le Comité de concertation reconnait toutefois aussi que les soins corporels contribuent indéniablement à un meilleur bien-être social et mental. C’est pourquoi les métiers de contact non médicaux pourront rouvrir progressivement. Les coiffeurs pourront reprendre leurs activités à partir du samedi 13 février. Les autres métiers de contact non médicaux, tels que les salons de beauté, de massage et d’onglerie, pourront redémarrer à partir du 1er mars.

    Des conditions très strictes

    La réouverture des métiers de contact non médicaux est soumise à des conditions très strictes et à des protocoles renforcés qui imposent notamment les aspects suivants :

    • Temps d’attente de 10 minutes entre deux traitements, pour le nettoyage et la désinfection de la zone de traitement
    • Obligation de travailler sur rendez-vous
    • Obligation pour les clients d’attendre à l’extérieur
    • Ventilation suffisante, par exemple en ouvrant les fenêtres et les portes
    • Maintien de l’interdiction des services à domicile

    Activités de plein air dans les parcs animaliers

    À partir du 13 février, les parcs animaliers pourront ouvrir leurs portes selon les mêmes règles que les parcs naturels. Cela signifie, entre autres, que seules les activités de plein air sont autorisées et qu’un strict contrôle de l’accès sera prévu.

    Maisons de vacances dans les parcs de vacances, les parcs de bungalows et les campings

    Le Comité de concertation a également pris note de l’arrêt du Conseil d’État du 2 février concernant les maisons de vacances dans les parcs de vacances, les parcs de bungalows et les campings. Conformément à l’arrêt, ces parcs pourront reprendre leurs activités à partir du 8 février selon les mêmes conditions restrictives que les autres types de logement. Cela signifie, entre autres, que leurs restaurants, bars et autres installations communes devront rester fermés.

    L’immobilier

    Le Comité de concertation a également confirmé sa décision antérieure d’autoriser les visites de biens à partir du 13 février dans le cadre des activités immobilières des agents immobiliers professionnels. 

    Calendrier

    Le Comité de concertation confirme que les restrictions actuelles pourront être progressivement supprimées dès que la situation épidémiologique s’améliorera de manière structurelle. L’augmentation du nombre de citoyens vaccinés notamment, en particulier dans les groupes vulnérables, aura un impact positif sur cet aspect. Le Commissariat COVID-19 et le GEMS ont été invités à établir un calendrier en collaboration avec les ministres et les secteurs compétents.

    Nouveau Comité de concertation le 26 février

    Pour finir, le Comité de concertation a également décidé de prolonger l’arrêté du 28 octobre 2020 jusqu’au 1er avril 2021 afin de garantir la sécurité juridique nécessaire même après le 1er mars. Cette prolongation n’exclut pas pour autant des décisions ou modifications dans l’intervalle.

    Le prochain Comité de concertation est prévu le vendredi 26 février 2021.

  • Les économies d'énergie au coeur d'un programme d'investissement provincial

    Trois millions pour améliorer la performance énergétique et l’utilisation rationnelle de l’énergie sur 10 sites scolaires de la Province ! La politique provinciale de rénovation de son patrimoine connaît un coup d’accélérateur bienvenu. Tous les dossiers rentrés par le Hainaut dans le cadre du plan wallon d’investissement « UREBA exceptionnels » ont été approuvés. Sur les 3 millions investis, la Province reçoit une subsidiation de près de 50%. Tout bénéficie pour le bien-être à l’école et pour la planète.

    Le développement durable est la pierre angulaire du plan stratégique et opérationnel de la Province de Hainaut. Au cœur de cette dynamique, des investissements pour favoriser les économies d’énergie dans l’important patrimoine public provincial. Plusieurs écoles, dont le dossier de subventionnement avait été introduit par le Collège provincial, bénéficieront de travaux de remplacement de menuiseries extérieures ou de toitures et de d’initiatives d’isolation.

    Le plus gros dossier concerne l’Athénée provincial de Morlanwelz. Une réfection complète de la toiture  du hall omnisports et le remplacement des menuiseries du domaine du Colombie seront effectués pour un montant de 822 000 €. Mais des travaux concerneront toutes les régions : la Samaritaine et l’Institut Jean Jaurès à Charleroi (955 000€ au total) ; le Lycée d’Hornu-Colfontaine, l’Athénée Jean d’Avesnes et l’Académie des Métiers en région montoise (950 000€), l’IPES Tournai et l’Athénée provincial de Leuze (305 000€) en Wallonie picarde.

    La Wallonie versera rapidement 80% des subsides pour  permettre un lancement des travaux dans les meilleurs délais. Une bonne nouvelle pour les élèves, les professeurs mais aussi pour le secteur de la construction « qui va pouvoir déployer tout son savoir-faire dans le domaine de la rénovation énergétique » !

  • Non à la fermeture des guichets de la gare

     



    La direction de la SNCB vient d’annoncer la suppression de 44 guichets. « Une gifle pour les usagers et les cheminots », selon Antoine Hermant. « Les guichets restent importants pour servir les usagers plus âgés et ceux qui ne sont pas nés un smartphone dans la main, souligne-t-il. Une présence dans les gares, c’est aussi plus de sécurité. Pourquoi ne pas transformer les guichets en points d’information sur toute la mobilité douce ? »

    Depuis plusieurs années, à coups de fermetures de guichets et de promotions exclusives sur le web, la direction de la SNCB pousse les usagers à se rabattre sur les automates et les applications en ligne. La baisse de la fréquentation des guichets qui en découle sert aujourd’hui d'excuses pour en fermer encore davantage.

    Les tarifs de la SNCB viennent encore d’augmenter ce 1er février. « C’est à se demander si la SNCB ne veut pas pousser les usagers vers la voiture, ironise le porte-parole du parti de gauche. Nous sommes pour le recours aux technologies modernes. Mais le rôle du guichet dans une gare n’est pas que de vendre des billets. Il est aussi de renseigner les usagers, en ce compris sur le tarif le plus avantageux pour eux. C’est d’ailleurs une promesse de l’accord de gouvernement. »

    Antoine Hermant : « Un guichet est toujours utile pour une partie de la population moins familière avec les nouvelles technologies. Sacrifier les personnes âgées, avec un handicap temporaire/permanent ou analphabètes sur l’autel de la rentabilité, ce n’est pas notre vision de société. Les usagers doivent avoir le choix d’acheter leur billet via les guichets ou via la voie digitale. »

    Par exemple, dans la région, on voit l'importance d'une gare comme Binche, qui voit monter 335 voyageurs par jour en semaine, 187 les samedis et 154 les dimanches. Il y a peu, la SNCB avait déjà réduit les heures d’ouverture. Elle n’était déjà plus ouverte que les matins en semaine et complètement fermée les week-ends.

    Pour le PTB, les guichets sont aussi la garantie d’une présence humaine dans la gare, « un élément important pour attirer les usagères, quand on sait qu’une femme sur trois évite les transports en commun par peur d’une agression, selon une étude du SPF Mobilité ».

    Les risques de dégradation de la gare sont réels. Les habitants de Binche tiennent très fort à cette gare qui est exceptionnelle au niveau architectural.

    Enfin, cette fermeture entraînerait la suppression de 77 emplois (soit un emploi sur huit) aux guichets dans tout le pays. « Est-ce ainsi qu’on remercie le personnel du rail qui a travaillé sans relâche depuis le premier confinement, sans aucune protection au début ?, s’insurge Antoine Hermant. Ces travailleurs font partie des héros de la crise. Ils méritent le respect. »

    Le PTB plaide pour une réflexion sur le nouveau rôle que pourraient remplir les guichets. « Trains, mais aussi bus, trams, vélos et voitures partagés : les gares sont souvent des points de mobilité, constate-t-il. Pourquoi ne pas développer les guichets comme points de référence et d’information pour toute mobilité douce ? Les guichets pourraient aussi rendre d’autres services au public : services postaux, points relais pour les colis, services administratifs, centres d’informations touristiques de base,… »

    Et le porte parole de conclure : « Les guichets ne sont pas le passé, mais le futur de la SNCB et de la mobilité douce. J’appelle le ministre à faire immédiatement marche arrière. Accepter la fermeture d’un tiers des guichets du pays, c’est rester dans la ligne néolibérale de ses prédécesseurs.

     

  • Une enveloppe de 1500 euros pour les louageurs

    L'histoire est celle d'une collaboration entre l'école de tambour Pol Canart et les créateurs du projet ( entre parenthèses ) , . grâce à la vente de sweats personnalisés , à l'image du Carnaval de Binche , une somme de 1.500 euros a été récoltée et redistribuée entre les trois louageurs binchois , soit un chèque de 500 euros par louageur. L'objectif principal de ce projet était de soutenir les sociétés carnavalesques et associations ayant un lien direct avec le folklore binchois et , lorsque le concept lui a été présenté , Pol canart , séduit par la démarche , n'a pas hésité un seul instant à le rejoindre . C'est ainsi qu'une édition spéciale pour son école de tambour voit le jour. Grâce au soutien des élèves , des parents  ,des amis , des sympathisants et in fine , de tous les amoureux du folklore , les commandes s'enchainent et plusieurs dizaines de pulls sont confectionnés , et floqués de la devise binchoise ( Plus Oultre ) .

    Entre Parenthèses  ,c'est le nom du projet lancé , en décembre , par Julian et Martin , deux jeunes originaires de la région du centre et attachés à leur folklore.

    Depuis novembre , plusieurs nouveautés ont vu le jour . " Nous avons créé un e-shop qui facilite la prise de commande et nous permet d'automatiser une partie du processus." Vous pouvez retrouver l'ensemble des articles ( pull , gilet , bonnet ) sur www.entreparenthesesla collcation.com! ).Une deuxième édition à été lancée la semaine dernière , en soutien au carnaval de La louvière .( Cum Lupis Laetare ).

    Une collaboration avec le Musée international du carnaval et du Masque va voir le jour et des produits exclusifs ( Plus Oultre ) seront bientôt disponibles à la boutique du Musée.