Ce qu'ils en disent:

            Luc Damay :

J’habite Châtelet. J’ai cinquante-deux ans. Je viens à Binche car je suis client de la maison Houdart. J’aime le sport. Je participe à quelques Ravel pendant l’année. Je suis aussi concurrent et j’espère bien gagner les défis. Quelques points me séparent de mon adversaire. Je suis membre du club des cyclistes de Ransart. Je parcours plus ou moins deux cent cinquante kilomètres par semaine.

    Charline Zgajewski :

J’habite à Carnières. J’ai onze ans. Je termine mon parcours de trente-cinq kilomètres en deux heures. Je ne suis pas inscrite dans un club mais avec mes frères, nous sommes champions du Hainaut en VTT. Je préfère rouler sur le Ravel, on est moins crispé, c’est plus cool. J’ai roulé à mon rythme. Beaucoup de participants s’arrêtaient, pas moi.

 Emilio Di Giovani :

J’ai quarante-deux ans. J’habite Haine Saint Pierre. C’est la première fois que nous participons mes fils et moi au Ravel. Voici mes fils : Axel (dix ans) et Anthony (15 ans). Nous avons choisi le grand parcours. D’après les organisateurs, le parcours n’est pas trop pénible mais trente-cinq kilomètres, c’est déjà quelque chose car nous ne faisons pas partie d’un club et nous sortons rarement à vélo

    Michel Hocq :

Je suis binchois. Ici, je suis chez moi. J’ai cinquante-neuf ans. Je n’ai pas participé au Ravel mais je fais du vélo. Je suis membre de l’amicale cycliste binchoise. Je roule quand il fait bon. En moyenne, je fais cent cinquante kilomètres par semaine. Mon vélo n’est pas approprié pour rouler sur le Ravel. Les pneus sont fins et je crains les crevaisons.

Pol-Emile Penninckx

Je suis venu en voisin, j’habite Mons mais j’ai des attaches à Binche et puis j’aime bien Binche. J’ai cinquante-six ans. C’est la treizième année du Ravel. J’ai accompli les trente-cinq kilomètres en deux heures et demi. C’est un très beau parcours très roulant et pas trop accidenté. C’était très agréable. Malheureusement, le bon temps n’est pas de la partie, il fallait être bien équipé pour rouler.

   John Godart :

   Je suis aussi un voisin, j’habite Anderlues. J’ai quarante ans. C’est la première fois que je viens à un beau vélo de Ravel. C’est une réussite. Malgré la pluie, je suis satisfait de ma journée. Onze et trente-cinq kilomètres, la différence est grande, il faudrait une étape intermédiaire. C’est un très beau parcours familial. Pour moi, onze, c’était trop court et trente-cinq un peu long. 

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