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Laurent Devin face aux Insolents

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Vendredi soir, c’était au tour de Laurent Devin d’être sur la sellette. Bien entendu, il fut fait allusion à différents moments de la vie marquant le curriculum du mayeur. Le bourgmestre a reconnu que ses études à l’ULB avaient été un moment de détente et qu’il les avait vécu en toute circonstance, digne de la penne qu’il portait. Pour preuve, le bourgmestre n’hésita pas à entonner un extrait d’une chanson estudiantine qui semble l’avoir marqué d’une empreinte toute particulière. La chanson fut assez rapidement interrompue car les vers de la strophe s’annonçaient un peu grivois à la manière de toute chanson estudiantine. Enfin, on a appris que Laurent Devin était né à Binche, qu’après lui, la maternité avait été fermée mais que son rêve secret était d’en rouvrir une. Le spectacle se poursuit par une série de jeu de mots : il est assez facile d’associer bouteille et noms de vin au patronyme du bourgmestre. L’association de Marie de Hongrie me semble mieux réussie en parlant des ruines de son château et en concluant qu’elle aurait bien mérité un  « châteauneuf »   

 

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En intermède, on a eu droit à la prestation d’un groupe de chanteurs dont la synchronisation fut défaillante à l’entame de la chanson pourtant très entraînante : « Quelles sont jolies les filles de mon village » et une reprise fausse du deuxième couplet. Pour compenser ceci, l’autodérision entre en scène : « Le Belge  du Nord qui travaille au Nord, le Belge du Sud qui… vit au Sud. » « A l’île de Pâques, tous les lundis sont des lundis de Pâques. » Les jeux de mots deviennent plus inattendus et de ce fait prennent une autre tournure : faire appel à Dragone « depuis le temps qu’il veut décrocher la lune, il pourrait reconstruire un château pour Marie( de Hongrie) et il pourrait présenter à Marie l’Empereur (Charles-Quint) (Marie Lempereur, services communication de la ville).

 

Pour le final, le bourgmestre avait carte blanche : il a choisi un sketch sur les pompiers (oû sont passés les tuyaux ?) qui fut particulièrement apprécié du public. 

 

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