Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Binche - Page 19

  • Le Comité de Concertation approuve le baromètre Corona , code rouge à partir du 28 janvier

    Le Comité de concertation a approuvé aujourd'hui le baromètre corona. Les mesures basées sur le baromètre entreront en vigueur le vendredi 28 janvier selon le code rouge. Le vaccin booster viendra s’ajouter au Covid Safe Ticket à partir du 1er mars. Le Comité de concertation constate que le nombre de contaminations poursuit sa nette augmentation. Le taux de reproduction des infections et des hospitalisations reste supérieur à 1, indiquant une propagation accrue du virus. Le nombre d'hospitalisations augmente aussi, tandis que le nombre de lits en soins intensifs occupés par des patients covid est toujours en légère baisse, ce qui reflète les caractéristiques du variant omicron, moins pathogène mais nettement plus contagieux. 1.    Baromètre corona Objectif Le baromètre corona se veut un outil de préparation proactive des politiques et de communication et devrait offrir plus de prévisibilité aux secteurs concernés, structurer les décisions du Comité de concertation et les rendre plus transparentes. Code jaune, orange et rougeLe baromètre corona comporte trois phases qui reflètent le niveau de pression sur les soins de santé :-    code jaune : situation épidémiologique et pression sur les hôpitaux sous contrôle;-    code orange : pression croissante sur le système de santé, nécessitant une intervention pour inverser la tendance;-    code rouge : risque élevé de surcharge du système de santé. Pour déterminer le code applicable, le Comité de concertation tiendra compte, outre de la pression exercée sur les soins de santé, d'une évaluation globale de la situation épidémiologique et accordera une attention particulière à la santé mentale.Secteurs concernésLe baromètre se concentre sur les événements publics, l’Horeca et les activités récréatives. Une distinction est faite entre les activités intérieures/extérieures et non-dynamiques/dynamiques. D'autres secteurs pourront éventuellement s’ajouter ultérieurement. L’enseignement et les contacts sociaux ne feront pas partie du baromètre.2.    Code rouge à partir du 28 janvierSe basant notamment sur l'accélération de la hausse du nombre d'hospitalisations, sur le taux de positivité élevé et sur l’intense circulation de l'omicron entrainant un nombre croissant d'absences dans les écoles, les entreprises, les secteurs de soins et les services publics, le Comité de concertation a décidé de lancer le baromètre en code rouge à partir du 28 janvier avec les mesures suivantes. •    Événements publicLes événements publics comme les pièces de théâtre et les matchs de football seront autorisés à l'intérieur et à l'extérieur, à l'exception des événements dynamiques en intérieur comme les soirées dansantes. Le port du masque est obligatoire pour tous à l'intérieur et à l’extérieur. Le CST est obligatoire à partir de 50 participants en intérieur et 100 participants en extérieur.Une capacité de 200 personnes maximum est toujours autorisée. Un taux d’occupation de 70 voire 100 % est autorisé pour les plus grandes salles à condition que la qualité de l’air soit maintenue en dessous de 900 ppm.Les mariages et les enterrements sont autorisés comme à l'heure actuelle.•    HorecaL’heure de fermeture concernant l’Horeca est portée à minuit. Le port du masque reste d’application pour les clients et le personnel et le CST est obligatoire. Par ailleurs, les règles concernant la capacité de 6 personnes par table et l'interdiction de consommer debout restent d’application. Le monde de la nuit et les discothèques (intérieur/dynamique) restent fermés.•    Activités organisées en groupeLes activités organisées en groupe comme les mouvements de jeunesse, la vie associative et la pratique du sport à un niveau non professionnel sont autorisées. La capacité maximale est de 80 personnes à l’intérieur et de 200 personnes à l’extérieur. Concernant les camps, les nuitées sont autorisées.•    Ouverture d’une série d'activités à l’intérieurÀ l'exception des discothèques et des dancings, les espaces intérieurs suivants, actuellement fermés, peuvent rouvrir au public : parcs d'attractions, plaines de jeux intérieures, parcs animaliers et zoos, piscines subtropicales et parties récréatives des piscines, parcs à trampolines, bowlings et salles de fléchettes, salles de snooker et de billard, centres de paintball, laser games, escape rooms, casinos, salles de jeux automatiques et bureaux de paris.•    Télétravail, shopping et port du masqueLes mesures actuelles concernant le télétravail (quatre jours par semaine), le shopping en toute sécurité et le port du masque restent d’application.Validité du certificat de vaccination à partir du 1er marsUne dose de rappel (booster) constitue une protection importante contre le virus. Par conséquent, le Comité de concertation a décidé de faire passer la durée de validité du certificat de vaccination dans le Covid Safe Ticket de 270 jours à 150 jours à compter du 1er mars. La validité de la dose de rappel n'est pas limitée dans le temps.Cela signifie que toute personne ayant été vaccinée avant le 1er octobre avec une dose (Janssen uniquement) ou deux doses (Pfizer/BioNTech, Moderna, AstraZeneca/Oxford) doit avoir reçu une dose de rappel avant le 1er mars. Dans le cas contraire, son certificat de vaccination expirera.La validité du certificat de rétablissement sera également portée à 150 jours.Ces changements concernent uniquement les personnes de plus de 18 ans.

  • Comité de Concertation maintient des mesures en vigueur

    Le Comité de concertation a fait le point sur la situation épidémiologique aujourd’hui. La propagation rapide du variant Omicron engendre une forte augmentation du nombre d’infections. Il a donc été décidé de maintenir les mesures en vigueur. Le Comité de concertation a également abordé la stratégie à moyen terme, dans laquelle la prévisibilité et les perspectives sont des éléments-clés.

    Selon les dernières données scientifiques, le variant Omicron serait trois à quatre fois plus contagieux mais peut-être moins pathogène. Cela se traduit déjà à l’heure actuelle par une augmentation rapide du nombre de contaminations (+79 % la semaine passée) et une augmentation des admissions à l'hôpital (+20 %). Le taux d'occupation des unités de soins intensifs continue quant à lui de baisser pour le moment, mais de manière moins prononcée que la semaine précédente.

    Compte tenu de la situation actuelle, le Comité de concertation conclut qu’il est préférable que les mesures en vigueur soient maintenues.

    Les mesures actuelles restent d’application

    Télétravail

    Le télétravail reste obligatoire, au moins quatre jours par semaine. Un seul jour de retour peut être prévu par semaine, avec une présence simultanée de maximum de 20 % du personnel.

    Les team buildings et les autres activités qui requièrent une présence physique sur le lieu de travail, à l’intérieur comme à l’extérieur, restent interdits.

    Rassemblements, activités et événements

    Les restrictions ou fermetures en vigueur concernant certains rassemblements, activités et événements – par exemple, dans l’ Horeca, la vie nocturne ou la vie sportive et culturelle – restent d’application.

    Enseignement

    Le Comité de concertation confirme la réouverture prévue de l'enseignement à partir du 10 janvier. Cela signifie le retour à un enseignement en présentiel à temps plein dans les écoles maternelles, primaires et secondaires, et à temps partiel dans l’enseignement artistique. Les mesures de prévention suivantes doivent être respectées :

    • la ventilation permanente
    • le port du masque obligatoire dès 6 ans
    • le respect des mesures de test et de quarantaine. Les classes seront fermées à partir de quatre infections (enfants symptomatiques)
    • les réunions continuent d’être organisées en ligne
    • le mélange des classes dans les espaces intérieurs communs (salle d’études, réfectoire…) doit être évité au maximum
    • les excursions d'une journée sont autorisées conformément aux règles en vigueur dans la société
    • les activités extra muros avec nuitée restent suspendues

    Le Comité de concertation appelle les parents à tester leurs enfants à l’aide d’autotests autant que possible.

    En ce qui concerne l'enseignement supérieur, le Comité de concertation invite les ministres de l'Enseignement, en collaboration avec le secteur de l'enseignement, à évaluer sur la base de quelles mesures de prévention (supplémentaires) l'enseignement supérieur sera organisé à partir du 10 janvier.

    Mesures de test et de quarantaine

    Le Comité de concertation prend acte de la décision des ministres de la Santé publique qui, sur la base des dernières informations scientifiques sur le variant Omicron, ont modifié la politique de test et de quarantaine. Cette modification prendra effet le 10 janvier.

    Cette nouvelle politique de test et de quarantaine accorde plus d’importance aux autotests. Ces autotests sont disponibles dans les supermarchés et les pharmacies. Les personnes qui bénéficient d'une intervention majorée peuvent acheter des autotests en pharmacie au prix de 1 euro (4 autotests maximum par personne et par période de 14 jours).

    Stratégie à moyen terme et baromètre

    Le Comité de concertation a également examiné les travaux préparatoires du Commissariat COVID-19 portant sur une stratégie à moyen terme et le projet de baromètre Corona. Le Commissariat COVID-19 a été chargé d'affiner et d'élaborer le baromètre.

  • Enseignement supérieur : des solutions possibles pour les étudiants qui ne peuvent présenter certains examens

    Valérie Glatigny, ministre de l’Enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, réitère son appel aux établissements d’enseignement supérieur à faire preuve de souplesse afin de proposer autant que possible des solutions adaptées aux étudiants qui ne pourraient pas présenter leurs examens pour cause d’isolement (positifs au Covid) ou de quarantaine. Les étudiants sont invités à prendre contact avec leurs établissements afin de trouver ensemble des solutions adaptées.  

    Comme déjà indiqué par la Ministre Glatigny aux établissements par courrier le 23 décembre, ceux-ci peuvent par exemple faire usage de l’article 79, § 2, du décret « paysage » du 7 novembre 2013, qui permet de prolonger la session d’un étudiant pour des raisons de force majeure dûment motivées.

    « Durant les sessions précédentes, des solutions ont pu être trouvées pour de nombreux étudiants. Nous appelons les établissements à ce que cela soit à nouveau le cas pour cette session de janvier 2022 », souligne Valérie Glatigny.

    Il est crucial de rappeler qu’étudiant positif ne doit en aucun cas se présenter à un examen. Les règles d’isolement doivent être respectées afin de protéger la santé de tous.

    Par ailleurs, face à l’inquiétude que peut susciter chez certains étudiants la croissance du nombre de cas positifs dans la société, la Ministre Glatigny tient à rappeler à tous les acteurs de l’enseignement supérieur l’impérieuse nécessité de respecter le protocole en vigueur.

    « Le strict respect des gestes barrières permet d’assurer le maintien des activités d’apprentissage et d’évaluation en présentiel, essentielles pour les étudiants, tout en garantissant leur sécurité sanitaire. J’appelle donc tous les acteurs à continuer à les respecter scrupuleusement », ajoute Valérie Glatigny.

    L’organisation prévue pour cette session de janvier 2022 - avec port du masque en tout temps et occupation d’1 siège sur 2 ou 1 siège sur 3, comme c’est traditionnellement le cas durant les épreuves – permet en effet aux étudiants de pouvoir présenter leurs examens en présentiel tout en limitant au maximum les risques de propagation du virus.

    Ces mesures, jugées adéquates par les experts sanitaires, ont permis d’éviter, depuis la rentrée de septembre 2021, le développement de clusters au sein des établissements. 

     

    La Ministre Glatigny tient enfin à souligner sa confiance, renforcée par l’expérience développée depuis le début de la crise sanitaire, dans la capacité des établissements d’enseignement supérieur et de leur personnel d’organiser les apprentissages et les examens dans de bonnes conditions sanitaires et pédagogiques.