Un incendie a été constaté par les ouvriers de l’entreprise Stiernon ce vendredi matin vers 7h. Le feu avait pris dans un local ouvert. Les dégâts restent limités et des ondulés de plastique ont fondu suite à ces flammes. L’intervention a duré deux heures.Publié le 18/11 à 11h02

Sur les planches, on retrouve pratiquement toute la famille de Raymond: Gilles et Marie-Paul Rochez font partie de la première génération, Laura Rochez, Florence et Annabel Debaise, Martin Gigounon, de la deuxième et Come Steenhout et Victor Gigounon de la troisième. Six autres acteurs sympathisants s’impliquent dans cette troupe familiale.

El Furteu (Raymond) fut aussi correspondant de presse. Il écrivit aussi plus de deux mille billets pour le journal local: le Binchois.

La pièce: Sang d’Binchou est présenté les 19 - 25 – 26 novembre à 19 h 30, les 20 et 27 à 17 heures au théâtre communal. Le prix d’entrée est de 10 € par adulte, 5 € pour les enfants. La réservation s’effectue chez Vitobel, 23 avenue Charles Deliège. 

A l’initiative de Natecom et de l’atelier théâtre de Binche-Estinnes, les deux asbl ont organisé la nuit des grign’dints. Le président de Natecom, Jean-Claude Bougard, explique: “ A l’époque de la Toussaint, les enfants creusaient des têtes de mort avec des dents très marquées et une large bouche dans des betteraves dont c’est la saison de récolte. Dans la betterave évidée, ils plaçaient une bougie et fixaient la betterave au bout d’un bâton. Ils allaient alors de maison en maison et sonnaient aux portes pour effrayer les habitants. Peu à peu, cette pratique a disparu. Nous avons voulu remettre au goût du jour cette tradition dont l’origine est très lointaine, celtique probablement. Les Irlandais immigrant aux USA ont emmené dans leurs bagages une tradition similaire: elle est devenue Halloween. A l’heure où cette fête revient chez nous, nous avons voulu revenir à nos sources plus traditionnelles et wallonnes en faisant revivre les gring’dints (dents grinçantes en patois).” 

Presque quinze cents marcheurs

Le président José Fonteyn est un homme heureux et épuisé comme ses nombreux collaborateurs: “Je suis très heureux du succès rencontré par notre trente-cinquième marche. Quand nous avons clôturé les inscriptions, le décompte des bullerins révèlent que mille quatre cent quarante-huit marcheurs se sont élancés sur nos parcours.”

Le succès du jour est mérité. José et son comité n’hésitent pas à payer de leurs personnes en organisant des cars pour que les membres du club de marcheurs de la police participent à de nombreuses marches à l’extérieur. Cette politique d’amitié réciproque incite les autres clubs à rendre la pareille.  La police bruxelloise n’oublie l’époque où les deux clubs travaillaient de concert: une importante délégation bruxelloise était présente à Binche. Cinq cars ont amené des marcheurs flamands venus des quatre coins de Flandre: Merksem, Oud Turnhout, St Nicolas,… mais aussi de nombreux Français ou Luxembourgeois ont préféré faire le déplacement en voitures.

Si dj’avoûs seû

A l’occasion de son vingtième anniversaire, la troupe El pavé picard binchou n’a pas lésiné sur le rire. Le metteur en scène Olivier Luciani déclare: “Quand un matin, on se réveille avec un énorme mal de tête dans une maison inconnue auprès d’une femme tout aussi inconnue et qu’on trouve son pantalon plein de sang avec dans les poches une somme d’argent, on peut conclure que la nuit fut agitée.” C’est ce qu’est le réveil de Michel. “ Fidèles à eux-mêmes, les membres d’El pavé picard binchou ont présenté au public un spectacle hilarant, plein de rebondissements et préparé avec soin dans un décor haut en couleurs.